Fondatrice Messages : 149 Date d'inscription : 11/12/2015
| Mar 22 Déc - 16:16 | |
❝ Une bonne mâtine ❞ou pas... ~
Il faisait froid dehors, j'avais sorti mes gants ainsi qu'un gros manteau noir. J'avais fait un détour afin de changer le paysage que je voyais tous les matins avant d'aller au travail. J'en avais marre de voir la même chose. Il faut dire que là ou je vais cela n'a pas mieux non plus, là-bas, c'est la même chose aussi. Le hall, les escaliers, mon bureau, mes contrats... Rien n'a changer depuis que je suis à Marukawa, sauf mon bureau que j'ai personnalisé. Mais sinon rien, l'extérieur est toujours le même, mais je suis heureux de travailler pour cette entreprise, elle est chaleureuse et je ne manque pas de travail.
Je marchais et j'apercevais déjà le bâtiment, il était encore tôt, seuls les chefs et les responsables étaient présents et je ne manque pas à la règle. Il faut dire que pour une fois, je n'avais pas dormi dans mon bureau, je n'avais pas fait passer mon travail avant. Mais j'avais était tenté de le faire. Je crois que je passe plus de temps dans mon bureau à obtenir des contrats pour les artistes que dans mon appartement. Je suis un cas désespéré. Enfin bref, me voilà dans le hall, je salue rapidement le réceptionniste et je prends les escaliers pour aller à mon bureau qui est à l'avant-dernier étages. Un bureau perdu dans les autres bureaux bien que je suis le seul à faire le métier que je fais, mon bureau est un endroit inconnu pour la plupart des employés.
Je soupirais quand mon regard s'arrêta sur du papier par terre, je m'arrêtais et je m'abaissais pour prendre le papier, enfin les papiers, il y en avait un peu partout dans les escaliers, quelqu'un avait dû les perdre. Je les regardais et je fus surpris de voir que cela appartenait à un responsable. Je soupirais, car les documents que je venais de trouver étaient importants. Je montais jusqu'aux salles de travail pour les mangaka, il n'y avait encore personne sauf le chef qui crier au téléphone. Je soupirais encore une fois, je n'ai rien à faire ici et personne me connais, je ne gère rien d'ici, seul le chef gère le tout. Je soupirais avant de toqué à la porte et de prendre un air professionnel, je savais déjà que j'allais passer une sale quarte d'heure.
Quand je rentrais dans ce bureau, c'était glacial et le chef était aussi froid, il devait encore avoir un problème avec un délai non respecté. Heureusement que je ne me charge pas de ce qui se passe ici. « Monsieur, vous avez perdu cela dans les escaliers. » Dis-je doucement alors qu'il était au téléphone. Il me fit signe de m'asseoir comme si j'étais un employé. Cela se voit qu'ici, je ne suis pas grand chose, cela me fit sourire. « Qu'avez vous a sourire ? » Me dit-il froidement avant de raccrocher violemment le téléphone, cela me fit sursauter. « Rien de spécial, je suis venu vous rendre les papiers que vous avez perdus dans l'escalier. »
Il me regardait froidement et prit les papiers. « Je n'ai rien perdu, vous les avez trouvés sur mon bureau. Vous cherchez à me causer du tort, c'est cela. » Me dit-il en me criant dessus. Je fus surpris par ses dires, comment peut-il croire cela. Je soupirais une nouvelle fois et je regardais ma montre. « Vous êtes toute pareille, je suis sûr que vous êtes un fan d'un auteur et vous veniez prétexter que vous avez trouvé cela dans les escaliers pour voir votre auteur préféré, mais avec moi, on ne me la fait pas. » De quoi il parlait au juste, je le laissais parlais, car je n'avais pas grand chose à dire, mais il était dans une paranoïa totale. « Non, vous venez nous voler notre travail, vous êtes de la concurrence ! Espèce de ... » Je me levais cette fois, c'est trop. « Bon, je vous arrête toute suite, je suis juste venue vous rendre votre dossier, fait attention à ne pas le perdre. » Il me regardait froidement et je pouvais déjà entendre les employer arrivé, super, je vais me faire remarquer et lui aussi. « Je n'ai pas d'ordre à recevoir d'un groupie comme toi, espèce de morveux ! » Je soupirais. « Sortez toute suite de mon bureau, de nos bureaux, vous n'aurez pas ce que vous voulez ! Je mis oppose ! Vous ne respectez rien ! Sortez et que je ne vous revois plus ! » Je soupirais et je sortais, mais il était déjà trop tard, je m'étais fait remarquer et pas qu'un peu, je me demande quelle mouche la piquée, il s'est s'en doute fait volé une œuvre et je prends pour tout le monde, je soupirais à nouveau, finalement mon bureau calme me manque.
Je marchais jusqu'à l'ascenseur cette fois, mais tous le monde me regardaient, je n'aimais pas cela. Je m'arrêtai pour regardais ce petit monde que je n'avais jamais vu. J'avais l'impression de jouer les touristes dans l'entreprise où je travaille. Ma mâtiné commencés bien, au moins cela ne peut pas être pire.
© Code de Phoenix O'Connell pour Never-Utopia |
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